Constitution européenne : l’ombre de Jaurès

Il y a à Lambesc une place Jean Jaurès. Elle est au coeur du centre historique de la commune, au pied du Jacquemart, et est bordée de platanes centenaires. Jaurès était socialiste. Aujourd’hui, son pacifisme et son idéal européen ne ravissent pas toujours à gauche et ne choquent plus souvent à droite. En fait, Jean Jaurès appartient maintenant à tout le monde, en France comme en Europe : il est l’un de nos rares symboles, pour avoir combattu avec fougue les nationalismes et la guerre qui montaient en 1914. Quelques semaines avant le début de la grande boucherie, il déclarait :

“Je dis ces choses avec une sorte de désespoir : il n’y a plus, au moment où nous sommes menacés de meurtre et de sauvagerie, qu’une chance… C’est que (…) le battement unanime des coeurs écarte l’horrible cauchemar”.

Pour avoir été en avance sur son temps, il fut assassiné quelques jours plus tard. Nous ne sommes plus en 1914. A présent, on discute d’une constitution européenne. Avec passion. Les uns sont“contre”le projet actuel, estimant qu’il nuit à l’indépendance de la France ou qu’il n’est pas assez social. Les autres sont “pour”, considérant qu’il représente un bon compromis entre 25 nations aux cultures, traditions et systèmes politiques différents.

Le 29 mai, nous sommes appelés à nous prononcer. Avant de faire ce choix, nous pouvons aller nous promener sur la place Jean Jaurès à Lambesc. Dans le bruissement des feuilles naissantes des platanes, peut être l’ombre du grand homme nous murmurera-t-elle un quelconque message, une réflexion, une idée, un argument…

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Cafouch à vendre…

La commune vient de vendre le local de la station de pompage situé avenue de la Résistance à la SCI DUUMVIR au profit du notaire pour étendre son étude. On aurait pu cependant se poser la question de l’opportunité de le céder, si l’on considère le fait qu’il est accolé à la médiathèque et qu’une communication intérieure aurait permis de créer un supplément de surface de 21m2. De plus, alors que les services des Domaines estimaient ce bien à 5700,00 € HT, l’acquéreur n’a pas souhaité faire d’offre supérieure à 4000,00 € HT. Offre acceptée par le maire et sa majorité municipale, celui-ci indiquant en outre qu’il s’agissait d’un “cafouch” et que cela obéissait à une logique économique créatrice d’emploi. Considérant les arguments évoqués plus haut et les prix pratiqués dans l’immobilier à Lambesc, nos élus ont refusé de s’associer à ce bradage d’un bien communal.

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L’autrement de mars 2005

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L’autrement de mars 2005

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Échos…

On nous dit parfois que…

A la lecture des derniers numéros de « l’Autrement », de nombreux lambescains et en particulier les plus nouveaux, découvrent des articles qui traitent essentiellement de dossiers sur les problèmes de circulation ou d’urbanisme sur la commune. Notre approche de ces sujets, nous conduit souvent à exprimer une analyse de la situation bien différente de celle proposée par la mairie.
En matière d’urbanisme, par exemple, on nous fait parfois remarquer que notre point de vue défend une vision trop protectionniste et donne le sentiment d’une certaine volonté d’empêcher l’installation de nombreux arrivants sur Lambesc…
Ainsi, des questions nous sont posées directement :
« Peut-on résister ou doit-on forcément résister au désir légitime des populations qui veulent vivre et travailler dans la région? »
« Face à une telle pression démographique et aux conséquences foncières, comment notre association se déterminet-elle ? ».

echos

…expliquons nous.

Tout d’abord,rappelons notre définition du concept « Lambesc village » afin de clarifier notre position et d’exprimer nos propositions pour l’avenir de la commune. A l’inverse d’une vision qui serait celle du « village gaulois », hostile aux étrangers à la communauté, qui dresse des remparts, qui se referme sur lui-même, qui fait preuve d’égoïsme et d’esprit grégaire ,Lambesc Autrement revendique son attachement à la notion de « village » pour les valeurs nobles qu’elle véhicule : tout d’abord la solidarité et la convivialité entre les
habitants,la possibilité de renforcer les liens et les échanges au sein de la communauté,de favoriser la mixité des générations, des milieux sociaux et culturels. Enfin,l’occasion de voir émerger plus de citoyenneté et de démocratie participative dans sa commune.
Par opposition à notre perception,certes caricaturale,de « la ville » : ville dortoir, ville champignon, ville satellite… cet environnement-là,renforce l’anonymat et l’indifférence,engendre l’éclatement des quartiers et la naissance de ghettos suburbains,et conduit finalement au désintérêt de la cause politique locale.
Aujourd’hui, certains choix irréversibles ont été faits à Lambesc,d’autres sont à venir dans le cadre du futur Plan Local d’Urbanisme,et la commune est en marche vers une croissance importante de population. Pourtant il reste encore l’espoir et la possibilité de choisir le rythme de ce développement.
Il est indispensable de réguler l’urbanisation et de contenir la pression démographique pour donner le temps à l’agglomération existante de redimensionner son propre environnement et d’anticiper les infrastructures qui pourront absorber cette croissance. Les méthodes par lesquelles se fera le développement de Lambesc, conditionneront notre futur cadre de vie.
Ainsi, il nous apparaît indispensable de :

  • recréer un centre ville vivant et convivial élargi autour de la rue Grande.
  • adopter un nouveau plan de circulation et libérer de l’espace pour les piétons.
  • améliorer et augmenter les possibilités de stationnement.
  • sécuriser le secteur des écoles et les cheminements périphériques ainsi que les raccordements sur la déviation de la N7 en fonction des futurs sites aménagés.

Un projet a été déposé dans ce sens par Lambesc autrement, auprès de la CPA (Communauté du Pays d’Aix)dans le cadre du Plan de Déplacement Urbain. Il faut également favoriser et aider le tissu associatif,qui permet à tous, de mieux vivre ensemble.
Enfin, notre village ne peut pas se concevoir sans encourager le secteur agricole,préserver notre environnement naturel et développer l’économie locale.
Actuellement,le fonctionnement de la municipalité ne nous permet pas de participer aux choix politiques ni aux décisions techniques. Pour autant, il est de notre responsabilité d’exprimer notre point de vue sur l’avenir de Lambesc.
Il faut donc,à notre avis,appréhender les effets de cette explosion démographique pour rester dans un Lambesc à dimension « humaine », à la fois authentique et dynamique.

François BERGA

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En bref…

Ce ne sont pas les occasions qui manquent

Après que sa propre Safrane ait été rachetée par la commune en 2001,pour
en faire un véhicule de service,le maire a décidé l’année suivante qu’un deuxième
véhicule était nécessaire et a donc acheté une Peugeot 406.Hélas, le véhicule
en question ayant eu des problèmes mécaniques (sic),il a été contraintde s’en
séparer pour le remplacer par une Citroën C5 en cette fin d’année 2004.
À ce train-là les finances de la commune résisterons-elles ?

Pourquoi pas la “Tour d’Argent”?

En conseil municipal, le maire a fait voter le déplafonnement des frais de
repas,d’hôtellerie et de déplacement.Les élus,surtout le maire et ses adjoints,
pourront désormais se faire rembourser la totalité de leurs frais, quelqu’en
soient les montants.
Les élus de Lambesc Autrementont proposés un plafonnement raisonnable
de ces dépenses afin d’éviter toutes dérives possible.Cette proposition a été
rejetée.
Bientôt des notes de frais sans limite ?

Safari photo

Dans la dernière revue municipale le maire n’apparaît pas moins de 12
fois en photo,dont sept fois sur les neuf photos consacrées au forum des associations
2004.C’est ce qu’on appelle avoir de la présence…

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Témoignage

Le monde vient de connaître un élan de générosité sans précédent pour l’Asie,suite à la catastrophe liée au Tsunami,pour laquelle les médias n’ont pas été avares d’images.

Cette solidarité mondiale est une première et on ne peut que s’en féliciter.
Cependant,n’oublions pas qu’il y a d’autres situations catastrophiques de par le monde et que toutes les 30 secondes,une personne meurt de faim.

Je rentre d’un court séjour au Burkina Faso, un des 3 pays les plus pauvres du monde.
En brousse,où j’étais,il existe des villages sans eau,les habitants doivent aller au village voisin pour tirer l’eau au puis. Il n’y a pas d’électricité et dépenser 5 euros pour payer la scolarité d’un enfant en primaire, certains paysans ne peuvent pas.

L’an passé,la saison des pluies fut trop courte, la récolte du mil insuffisante, beaucoup de familles ne savent pas comment elles pourront attendre la prochaine récolte. Quant à la santé…

Ils ne vivent pas, ils survivent.

Oui, la solidarité mondiale est importante mais ne doit pas s’arrêter à l’Asie. À mon retour, voir certaines personnes profiter du malheur des autres pour se faire une publicité tapageuse, personnelle, m’a paru indécent. Combien d’enfants aurait-on pu scolariser avec les moyens dépensés dans toute cette publicité.

La vraie solidarité se fait dans la discrétion, en toute conscience et sans arrière pensée personnelle ou politique.

Louis SABOT

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Chiche M. le maire

Lors du vote pour les travaux d’extension des bureaux des services techniques, M. Ramond (UMP) s’est dit fâché qu’une subvention au titre des travaux de proximité soit rejetée par le Conseil Général (PS). Et se tournant vers nous, a lancé comme par défi: “vous devriez l’écrire…” (voilà qui est fait).

Lors du conseil municipal suivant, le même dossier est revenu, cette fois-ci pour solliciter une subvention auprès du député (M.Vachet, UMP), à prélever sur la“réserve parlementaire” dont il dispose. Mr Ramond nous a indiqué par ailleurs que le conseil général allait reconsidérer la demande, car le refus initial était consécutif à un malentendu.

Nous avons alors demandé si l’apostrophe, qui nous avait été faite, était toujours
d’actualité ?

Cela nous donne l’occasion d’exprimer notre opinion sur la manière dont l’argent public, ou plus largement les biens publics, devraient être octroyés ou mis à disposition. Les élus ont parfois tendance à considérer qu’ils sont plus que les dépositaires de l’argent public et qu’il leur revient d’en disposer à leur guise, pour peu que ce soit dans le cadre que leur fixe la loi. Il est alors tentant d’en faire un attribut de pouvoir, permettant d’exercer soutien ou pression selon les circonstances.

Ce n’est évidemment pas notre conception du rôle de l’élu en matière de gestion des finances publiques. Et le clientélisme, puisqu’il faut l’appeler ainsi, n’est malheureusement
pas l’apanage d’un parti politique plutôt qu’un autre. Il serait assez sain que notre maire s’en offusque si le parti,auquel il appartient,était un modèle de vertu dans ce domaine.

En tant qu’élus de Lambesc Autrement et en toute indépendance des partis politiques, nous ne pouvons qu’être critiques lorsque des subventions sont refusées à une commune parce qu’elle n’a pas la même option politique que celui qui décide de les octroyer.

Les communes se plaignent de discrimination, tout comme les régions se plaignent aujourd’hui que le gouvernement leur transfère d’énormes charges qui incombaient auparavant à l’état.

Notons qu’au bout du compte, c’est le citoyen qui est l’objet de la surenchère, du chantage, des pressions des uns et des autres et qui paie in fine cette “guéguerre”des
politiques. Lambesc n’y échappe pas et on se demande si les élus de la majorité en place ont vraiment envie de changer la règle ?

Nous avons trop souvent à voter des délibérations pour des demandes de subventions, alors que les projets sont à peine élaborés et les estimations de travaux relativement succinctes. La commune demande toujours, selon la formule consacrée, la subvention “la plus large possible”, le maire nous répondant invariablement : “nous ferons
les travaux en fonction de la subvention obtenue”.

Doit-on obtenir de l’argent et imaginer la ville, ou plutôt imaginer la ville et obtenir
de l’argent ?

Lorsque le maire octroie des subventions aux associations, il le fait de la même manière, sans critères objectifs, et un peu en fonction de ceux et celles qui les sollicitent. Lorsqu’il se plaint d’ostracisme, n’a-t-il pas l’impression de le pratiquer lui-même au sein de sa commune, en particulier à l’égard de ses opposants qu’il cherche à museler, leur rendant la tâche difficile pour se réunir, avoir accès aux dossiers ou tout simplement pour remplir leur rôle de citoyen.

Alors chiche M Ramond : soyons impartiaux avec les biens et l’argent public !

Jean -Philippe LABROUVE
Conseiller municipal Lambesc Autrement

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L’autrement de novembre 2004

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L’autrement de novembre 2004

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Tout pour un !

La distribution de l’eau, la collecte des déchets, l’éclairage public, le centre aéré, les pompes funèbres, les cantines scolaires, le foyer repas, tous ces services vitaux à la vie d’une commune ont été délégués à des entreprises privées.

Quand aux salles municipales, équipements sportifs ou culturels le maire en laisse la responsabilité aux utilisateurs.

Pourtant le pouvoir unique reste ?

  • Que penser d’un maire qui vend la majeure partie des biens communaux sans réelle concertation ni projet ? Les diverses ventes déjà réalisées ou en cours rapporteront plus de 6 millions d’euros. On ne sait toujours pas clairement comment ils vont être dépensés.

  • Que penser d’un maire qui refuse le prêt d’une salle municipale à une association parce qu’elle est d’opposition ?

  • Que penser d’un maire qui interdit la tenue d’une réunion d’information sur la sécurité routière, sujet de l’année au niveau national, parce qu’un des organisateurs (Lambesc autrement) ne lui plaît pas ?

  • Que penser d’un maire qui refuse à une association de parents d’élèves l’utilisation de la photocopieuse municipale sous prétexte que le contenu de son bulletin d’information ne lui est pas « favorable » ?

Souhaitons-nous « un régime à parti unique, n’admettant aucune opposition organisée, dans lequel le pouvoir politique dirige souverainement et tend à confisquer la totalité des activités de la société qu’il domine* » ?

Chacun fait partie du système sans forcément prendre conscience de la réalité de ces abus de pouvoir et rares sont ceux qui résistent.

Nous constatons que certains élus se sentent investis du pouvoir absolu et oublient qu’il ne s’agit que d’une délégation de responsabilité.

Lambesc Autrement s’opposera toujours à toute restriction de la démocratie qui permettrait à un seul de décider pour tous. L’information est, pour nous, un moyen privilégié pour y parvenir.

La Rédaction

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Le futur Plan Local d’Urbanisme (PLU) de Lambesc est lancé

Le conseil municipal du 29 septembre dernier a désigné le Cabinet Urbanis, pour mener la transformation du Plan d’Occupation des Sols (POS),en Plan Local d’Urbanisme. Le coût de cette étude est de 41000 € TTC.

Elle devrait durer 18 mois et permettre d’une part de redéfinir un nouveau zonage (en particulier pour les zones NB1 et NB2) s’intégrant dans un projet d’aménagement et de développement durable (PADD), d’autre part de rendre le PLU de Lambesc cohérent avec le Plan Local Habitat, que la Communauté d’Agglomération du Pays d’Aix et le conseil municipal de Lambesc viennent d’adopter. Le PLH s’imposera en effet, au futur PLU de Lambesc*.

Des objectifs ont été définis dans le cahier des charges et la réflexion devra être menée en particulier, sur le devenir des zones NB, la gestion des espaces naturels et des Espaces Boisés Classés, et les possibilités d’extension des secteurs constructibles.

Ceci en tenant compte des zones inondables et de l’exposition aux risques majeurs.

Ce plan, selon le cahier des charges, devrait permettre aux résidents et à leurs enfants de continuer à vivre dans la commune et d’accueillir de nouveaux résidents. Il devrait aussi permettre d’améliorer le cadre de vie par une réhabilitation des espaces publics, et une préservation d’un environnement bâti de qualité,en centre ville,en particulier.

Enfin, en regard des spécificités propres à Lambesc, il devra autoriser une extension de la zone d’activités, réserver des emplacements pour les équipements publics et les logements sociaux,revoir les emplacements réservés et les périmètres autour des monuments historiques, appliquer la loi Urbanisme et Habitat sur les zones agricoles, et redéfinir les zones NAF.

Nous aurions aimé, que ce cahier des charges soit discuté par tous les élus, avant sa mise à disposition des Cabinets conseils, ce qui aurait permis d’entamer le débat sur la politique que la municipalité actuelle souhaite mener en matière d’urbanisme. Il faut bien reconnaître que nous avons eu bien peu d’informations, car le maire lui-même, nous a dit attendre les conclusions des travaux du Cabinet, pour se forger son opinion.

Alors que la dernière révision du POS date de 4 ans à peine, il nous semble que les élus en charge de la commune pourraient avoir une vision, au moins globale, de ce qu’ils souhaitent pour Lambesc. Les Cabinets Conseils ont bien sûr, leur expertise technique à apporter, ainsi que leur expérience de ce qui se fait ailleurs. Mais si demain, tous les clignotants sont au vert, ce sera bien aux élus de décider (du moins si le PLH nous le permet), la densification des 326 hectares de zone NB, la construction d’une école dans le quartier StRoch (la commune vient d’acheter les terrains à cet effet), la création de tel ou tel équipement public, le déclassement de certaines zones boisées classées, etc…

Nous savons déjà que la CAPA impose au secteur Chaîne des Côtes et Trévaresse, auquel nous appartenons,la construction de 210 à230 logements par an jusqu’en 2010. Cela représente à peu près 275 logements pour Lambesc sur les cinq ans à venir. Compte tenu des constructions prévues sur Beaudoux, Ours, la zone du Calvaire,Tambarlé,etc…, l’objectif est d’ores et déjà dépassé.

Ce sont au moins 400 logements supplémentaires et donc plus de 10 000 habitants (hypothèse basse) habitants d’ici à 2007. Le maire ne contestera pas ses propres chiffres.

Il est donc clair qu’une démographie galopante à Lambesc dépendra largement de l’ouverture à de nouvelles possibilités de construire. Et donc du futur PLU.

Ce choix doit être fait dans la transparence et avec la participation du plus grand nombre. C’est en tous cas le sens de la loi, qui indique que tous les partenaires socioéconomiques et les habitants doivent être associés à la discussion, tout au long du processus. Nous prendrons en tant qu’élus, toute notre part au débat et rappellerons ici, que les uns et les autres ont pris, il n’y a pas si longtemps, des engagements de modération en matière d’urbanisme.

Jean-Philippe Labrouve
Conseiller municipal Lambesc Autrement

* page 9 de l’avant-propos du livre 1 du PLH sur le site de Lambesc Autrement.

ZONE NB : il s’agit d’une zone naturelle desservie partiellement par des équipements qu’il n’est pas prévu de renforcer et dans laquelle des constructions sont déjà édifiées.

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